Bonsoir de Provence Mon Amour

 

 

 

 

 

Французское арго

Текст аудирования для 10 класса «Phosphore» a interviewé quelques lycéens français sur leurs vacances d’été.

Compréhension orale

1. «Phosphore» a interviewé quelques lycéens français sur leurs vacances d’été.

1. Etes-vous contents de vos grandes vacances?

Domitille, 19 ans. «En général, oui, mais même quand on est amis au lycée, il faut bien choisir avec qui on part. Je ne partirai plus jamais avec elle.

J’ai passé plusieurs vacances d’été avec des amis dans une maison en Touraine, on était seuls, sans parents. Et elle, elle était toujours en retard. A la fin, on ne l’attendait plus du tout et elle ne sortait plus. Quand on riait, elle se retirait. Et puis, on était trois sur dix à partir avec notre argent, et c’était pas évident. Moi, les parents m’aidaient quand même. Mais c’est toujours ceux qui n’ont pas d’argent qui doivent suivre ceux qui en ont. On faisait un pot commun, on faisait les courses et quand y avait plus rien, on remettait de l’argent. Quand y avait des garçons, on dépensait beaucoup plus pour la nourriture.

2. Qui a fait de l’auto-stop?

Audrey, 17 ans. Du stop, j’en ai fait. J’ai jamais eu de problèmes. Mais un jour, on était trois filles à faire du stop. Un homme s’arrête et je me retrouve à l’avant. Clac, il ferme les fenêtres et on entend la fermeture automatique des portes. Il ne ralentissait pas alors qu’on voulait s’arrêter. Et puis, à un feu, il a pilé sec et nous a dit: «Cassez-vous!» Je crois qu’il voulait seulement nous faire peur.

3. Est-ce que quelqu’un est allé à l’étranger?

Caroline, 18 ans. Je suis allée à Prague et à Vienne avec cinq copains, on a voyagé en car et en train. Ça, c’est super bien passé, mais on a parfois été un peu bousculés par les gens qu’on a rencontrés. A Prague, une fois, on était dans une espèce de taverne. On a très bien mangé, mais à la fin, le serveur nous a apporté l’addition avec 100 couronnes de trop. On lui a dit non, non, non. Et lui, il est devenu agressif et a commencé à crier. On a tenu bon et finalement, il nous a seulement fait payer 50 de plus. C’est sûr, on a intérêt à bien compter si on ne veut pas se faire tromper.

4. Est-ce que quelqu’un est allé à la montagne pendant les vacances?
Lionel, 19 ans. J’ai fait un stage de rando en montagne pendant 15 jours en Corse. Dès le départ, je me suis chopé une gastro-entérite et j’ai dû abandonner le groupe pour me faire soigner en ville pendant deux jours, avant de les rejoindre.

Mais le gros truc, ça a été l’accident. Il faisait un temps pluvieux avec un grand vent. On marchait sur le flanc de la montagne et on était pressé parce que Météo France avait annoncé une tempête. Un bloc de rocher s’est tout d’un coup détaché et a écrasé la jambe d’une fille. Les filles paniquaient... Non, en fait y avait pas qu’elles. Le guide, lui, a tout de suite fait les premiers secours. Heureusement, on avait des pansements et tout le nécessaire. L’accompagnateur et deux autres sont allés le plus vite possible au refuge pour téléphoner. Un hélicoptère est venu très vite. Elle souffrait beaucoup. Elle a été transportée à l’hôpital.

Au retour, on s’est retrouvés à une dizaine avec elle pour faire la fête. Elle l’a quand même gardé deux mois, son plâtre!

текст аудирования для 11 класса

Une plongée du Remorra 2000

-24 mètres, eau 13 degrés Celsius. Tout là-haut, le reflet de la surface scintille encore. Nous plongeons le long d’une falaise, au large de Marseille. Pour prendre ses photos sous-marines, Robert Margaillan s’approche de nous à petits coups de palmes. L’éclat blanc de son flash troue un instant la pénombre qui nous entoure. «A combien sommes-nous de la paroi?» — «Environ 2 mètres.» — «C’est étonnant, j’ai l’impression que les rochers sont à

50 centimètres.» Non, vous ne vous êtes pas trompés, vous avez bien entendu. J’ai parlé sous l’eau. Il est temps que je vous dise, je ne porte ni combinaison, ni bouteille de plongée, ni palmes, ni masque. Je suis assis dans un fauteuil, et je respire tout à fait normalement. J’ai l’impression de vivre une scène de «20 000 lieues sous les mers». Je suis à bord du sous-marin de poche Remorra 2000, la dernière et géniale invention des ingénieurs de la Comex. Aux commandes: Henri Delauze, le PDG de la société. Le sous-marin biplace est une sphère en plexiglas de 1,69 mètre de diamètre. De cet appareil, nous admirons le monde du silence. Robert nous fait signe qu’il remonte. Pour lui, la plongée est terminée. Pour nous, un voyage fantastique commence. L’oxygène de la cabine est sous le contrôle permanent. Nous disposons d’une réserve d’air de 72 heures.

      — 44 mètres. Il fait plus sombre. Henri Delauze allume l’éclairage du «compas» (boussole). La lumière semble venir de là-haut et la surface ressemble à une gigantesque feuille de papier calque. Nous descendons lentement: à la vitesse d’un mètre toutes les trois secondes.

      — 52 mètres. Nous admirons d’énormes blocs rocheux entassés au pied de la falaise. Le Remorra avance maintenant tout seul. Soudain, les projecteurs éclairent une longue bosse dans le sable. Exactement, comme s’il pilotait un hélicoptère, Henri Delauze survole l’objet: «Une amphore romaine intacte! A la forme de ses anses, je pense qu’elle doit dater du premier siècle.» Les amphores étaient utilisées par les Romains et les Grecs pour transporter les marchandises. Dans la pénombre bleu sombre nous poursuivons nos recherches. Une sorte de neige défile dans les rayons des projecteurs: du plancton. Plusieurs morceaux d’amphores jonchent le fond.

      — 78 mètres. Là! Une seconde amphore intacte, entourée d’une multitude de coquilles vides. «Elle est habitée par un poulpe, qui après avoir mangé des coquillages, s’est débarrassé des coquilles», m’explique Henri Delauze. Nous arrachons les yeux pour percer l’obscurité. C’est alors que nous devinons une masse confuse à 15 mètres sur notre gauche. Mon cœur bat... Mais ce n’est que la carcasse d’une voiture américaine! Comment a-t-elle échoué ici, par 83 mètres de fond? Mystère. En tout cas, je suis tellement étonné que j’oublie de la photographier.

      — 86 mètres. Cela fait deux heures que nous naviguons sous l’eau. Hélas, il faut remonter, car demain le Remorra part en mission en Corse. Nous décollons.

      — 85, 83, 80 mètres, indique le sondeur. Pour les plongeurs professionnels qui travaillent à telles profondeurs, il faudrait maintenant effectuer une remontée qui durerait quinze heures! Nous n’avons pas ce problème. Il nous faut cinq minutes pour gagner la surface. Au-dessus de nos têtes une vague lumière bleue luit et nous indique la surface. C’est beau. C’est magique.

французская игра

http://www.tfo.org/jeux/grammoleau/

Если вы любите играть, то это для вас! Мои милые французы и француженки учите грамматику с удовольствием!!!

Ваша
Юлия Алексеевна

Mes amis! C помощью этой карты вы можете написать открытку на французском языке!


Ваши открытки приносите мне и вашим одноклассникам!
Ждём с нетерпением!

Лексика для общение в классе

Дорогие ребята!

 

Здесь слова для общения в классе!!!